1er café mortel à Charlieu

Les inscriptions sont complètes (maximum 18 personnes) !

Le jeudi 14 novembre 2019 à 19h

« Café mortel »

Pour la première fois
à Charlieu

Un café mortel ?

« Café mortel » ?

C’est un concept imaginé par le sociologue et anthropologue suisse
Bernard Crettaz.

On se réunit et on échange…. sur la mort.
Parlent ceux qui en ont envie.
Se taisent ceux qui préfèrent.
Et tous s’écoutent…

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Communication pour les écoles

Anabelle lors d'un spectacle avec des ballons rouges
Le 15 octobre à 14H00, toutes les écoles de France pourront se connecter pour plus de joie à l’école. C’est gratuit.
En direct, il pourront jouer avec mon personnage Anabelle et lui poser des questions.
Les expériences sont basées sur la respiration, la libération des émotions, l’apaisement, l’altruisme et la joie.
Faites passer l’information tellement réjouissante à vos enfants et aux enseignants.

Plus d’infos pour s’inscrire?
https://lea.fr/metier-denseignant/actualites/un-spectacle-interactif-pour-cultiver-la-joie-lecole

Anabelle, créatrice de joie

3ème café mortel à Roanne

Cette session est complète. Vous pouvez vous inscrire au prochain café mortel (le 4ème) dès à présent par mail ou demander des renseignements en laissant vos commentaires.

Le jeudi 14 mars 2019 à 19h

« Café mortel »

Pour la troisième fois
à Roanne

Un café mortel ?

« Café mortel » ?

C’est un concept imaginé par le sociologue et anthropologue suisse
Bernard Crettaz.

On se réunit et on échange…. sur la mort.
Parlent ceux qui en ont envie.
Se taisent ceux qui préfèrent.
Et tous s’écoutent…

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Vivre, mourir et le plus grand que soi…

J’ai vécu plusieurs rencontres avec lui. J’ai envie d’échanger sur la dernière fois où je l’ai vu…
On me parle de lui tout de suite. C’est le premier patient que je vais voir aujourd’hui.
On me dit qu’il décline : « C’est très mauvais signe, il va vraiment moins bien. Je suis inquiète. «  dit l’aide-soignante. « Il a le teint pas comme il faut. J’aime pas ça. »
Elle me parle à demi-mot de fin de parcours …
J’entre. Il sourit en me voyant.
Notre rencontre est tellement profonde, tellement intense que j’ai du mal à résumer nos échanges , tant toutes ses phrases étaient importantes.
La musique, douce et enveloppante, invite à la confidence, à l’intimité.
Il est prêt à ça. Ça se ressent dans son énergie.
Je ne le sens pas en fin de vie mais comme je connais moins l’amylose, je ne me prononce pas.
Je ne sais pourquoi, j’ai lancé cette phrase. « Qu’est ce que ça t’apprend cette maladie ? »
En fait. Oui. Je sais pourquoi j’ai posé cette question. Je l’ai senti affaibli de l’intérieur. Je me suis dit qu’au stade où il en était, identifier les progrès intérieurs, trouver le sens de son chemin de vie, lui donnerait une grande force.
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